L'été est superbe, et je vais vous dire ce que j’apprécie le plus : me baigner!

Ça peut vous sembler anodin, mais il y a quelques années, je devais rester assise au bord de la pataugeoire et regarder mon fils barboter et jouer dans l'eau sans moi. J’étais en attente d’une greffe rénale, sous dialyse quotidienne -- la piscine m'aurait fait courir des risques d'infection. Sans compter que je n'avais pas d'énergie à dépenser. Je peux me baigner maintenant avec mon fils de 9 ans pendant tout l’été, et dans quelques mois, je pourrai aussi jouer au hockey avec lui et rattraper le temps perdu quand j'étais trop faible.

Comme je vous le raconte ici, la maladie polykystique rénale (MPR) est fréquente dans ma famille. C'est une maladie génétique, alors je n'ai pas été la première des Hoffman à en faire l'expérience et je ne serai pas la dernière. Mais au fil des ans, les choses s’améliorent grandement pour des familles comme la mienne — et c’est La Fondation canadienne du rein qui a rendu cela possible.

En finançant la recherche, en donnant aux personnes atteintes les moyens de s'entraider et en militant pour le don d'organes, La Fondation du rein et des sympathisants comme VOUS ont changé radicalement le vécu des maladies rénales et leurs conséquences au cours des 60 dernières années. J'espère donc que les 60 prochaines années nous rapprocheront d'un traitement curatif. Allez-vous faire partie de l'élan qui nous permettra d'y parvenir ?

VOUS pouvez contribuer aux avancées dans les traitements et la prise en charge des maladies rénales en faisant un don aujourd’hui.

Vous avez ma reconnaissance et mon amitié,

Tania Hoffman

Receveuse d’une greffe et bénévole

La Fondation canadienne du rein